

Tes seins sont d’une Plénitude dont tu me parles si souvent et que là tu m’offres dans une position qui leur donne cette Formidable Apparence de Fruits vivants de par la réalité de leur consistance moelleuse au moindre de tes mouvements, Ton Être en est rayonnant, Lumineux, resplendissant des les Blancs et la Géométrie du Temple de ta Chambre Grotte-Ciel…
Tes longs doigts ont alors quelque chose de végétal et d’aquatique, comme animés par une sorte de fluide à lentement et longuement caresser tes rondeurs qui rayonnent dans les Lumières tamisées de la chambre et pourtant tes Seins et ta Poitrine semblent éclairés comme par le Soleil tellement ils sont dorés à briller comme si ta Chair était d’Or, un Or intérieur….
Leurs moelleux et leurs mouvements au moindre de tes gestes est follement émouvant et rappelle la mie du Pain Biblique de la manne d’Égypte, La Mie moelleuse et onctueuse juste avant la cuisson et après avoir été longuement pétrie comme tes mains le font alors que tu exprimes cette Offrande Charnelle amoureuse et chacun de ces gestes à mon attention d’Homme et d’invité.
La Lumière passe alors de tons gradués orangés à de variables et dégradés tons argentés et bleuetés dans d’incessants fondus en totales harmonies avec les nuances des couleurs de ta Chair et de la Nuit ambiante sous les Voiles de Tulle de ta Couche de Femelle Sauvage…
Et lorsque tu ondules en Femelle-Louv-Amoureuse légèrement sur le côté pour te montrer davantage ton sein se gonfle alors légèrement comme une Dune Maritime qui apparaît gonflé de son chaud sable mouvant et comme balayé de ta Main et de tes Doigts comme si ta Poitrine était alors offerte à des Vents Océaniques…
Ton autre sein plonge et s’enfonce dans le drap de lin brodé pour réapparaître vivant de Lumières et d’être si gonflé de ton Cycle qui approche… Il est tellement émouvant d’observer ce sein ainsi délicieusement enfoncé dans la Couche de Femelle qui t’A-Cueille pour l’Offrande exceptionnelle de Notre Anniversaire…
Et Danse ta Chair, alors que ta main vient effleurer l’arrondi de ta hanche pour mieux souligner les féminines puretés absolues des courbes de ta taille et déjà ta main revient cueillir de l’eau à ta Bouche dans un geste d’une troublant érotisme pour venir ensuite enduire tes délicats mamelons qui me donnent si souvent le lait alors que se croisent nos Regards dans mon voyage d’Homme réfugié dans la Corbeille de ton bras plié pour faire le plus doux des oreillers du Monde…



