Ha mé si vous saviez, une nuit, je suis rentré, depuis la rue, j’ai vu une lueur anormale dans la cage d’escalier, il était une heure du matin, je suis monté doucement dans l’escalier, j’ai vu sa porte entrouverte et par l’entrebâillement, les tiroirs d’une commode ouverts, et le contenu a demi sorti, apparemment fouillé…… pas un bruit dedans, j’ai appelé….. pas un bruit, rien…. juste la lumière d’une lampe dans le couloir…..
(la suite demainElle est chiante cette voisine, si vous saviez!!!!!)
Pas un bruit dans l’immeuble…..
Et pour resituer dans le contexte il faut savoir que quelques mois plus tôt notre cage d’escalier, hall du grenier, etc., avait été squatté quelque temps par successivement: un toxicomane, des clandestins, et autre jeune couple à la dérive.
C’est une petite copropriété, 4 appartements, on se connait tous, la porte entr’ouverte en question est habité par une voisine qui a hérité de l’appartement de son père (particulièrement glauque le mec) après son décès, Of Course……, appartement qu’elle s’est sentie obligée d’investir de par l’héritage familial.

Bref, je connaissais peu à ce moment là cette Putain, de Fuck, de Merde de Voisine (je vous présente par avance une enveloppe d’excuses -c’est bien fait pour servir, ça, non..?)et ne pouvait donc qu’agir avec attentions à son égard, jusqu’à faire plus ample connaissance…
J’ai donc légèrement poussé la porte, forte odeur de clopes et des documents, objets épars, visibles un peu partout de par mon angle de vue par la porte entrebâillée……
La vue de cet appartement en désordre, visiblement fouillé récemment, le silence à l’intérieur, le seul écho pour seule réponse à mes appels m’a forcément fait penser au pire, en lien avec les évènements passés tous fort bien terminés mais avec de bonnes et sales tensions avec les personnes en présences: squatteurs, toxicomanes, jeunes à la dérive, policiers, mairie, voisins nerveux, clandestins étrangers, syndic, procédures, etc.,etc.
(bon, je vais au marché faire une sélection des meilleurs produits du moment au meilleur prix-crise oblige-….), Break!
Rapidement s’est imposé à moi un pressentiment du pire en multiples versions: agression, suicide, viol, vol, assassinat, trouble psychiatrique, etc. Bref! Rien de normal qui me soit proposé dans le cas présent et au vu du contexte précédemment exposé de notre vie d’immeuble et rapport à notre quartier de centre-ville….
J’ai hésité à pousser la porte, puis l’ai prudemment fait pour passer prudemment la tête, chambres dans l’ombre, lit défait, objets épars, etc. sans m’avancer davantage…..
Je me suis reculé un peu submergé d’émotions puis ai fait le numéro de Police-Secours…… »Voilà voilà, nous arrivons…… » 15 minutes plus tard, appel téléphonique « Oui, c’est la brigade, on est devant votre immeuble mais rien d’anormal, vous pouvez nous retrouver…? » MOI: « Ha mé! Mr L’agent je vous est bien précisé au départ c’est le Boulevard et non la Rue du même nom, vous devez être dans la rue et non sur le boulevard, messieurs » EUX: « Oui, c’est non, on a compris, on arrive, s’cusez nous! »..
![photo[1]](https://etoile31.files.wordpress.com/2014/07/photo1.gif?w=640)
C’est toujours comme cela, tout le monde confond le boulevard et la rue avec cette adresse…Breuh! Bon, c’est à deux pas, donc les voilà…..
Deux bons gars de la brigade de nuit, bien rôdais aux situations en tous genre, moi un peu habitué de par mes activités d’organisation de concerts et festivals rock à des situation relationnelles complexes de toutes natures…., mais quand même……quand j’ai vu les policiers enfiler leurs gants de latex et se regarder en communiquant seulement des yeux pendant que je leur décrivais ce que je savais, heu! Comment dire……, plusieurs scénarios ont défilé mentalement.
Donc après ces mises au point effectués par les hommes de la Police (Force reste à la Loi!)avec leur professionnalisme particulier et leur conscience des dangers de toutes natures, méfiants à mon égard également, les voilà qui poussent la porte et pénètrent méthodiquement dans l’appartement comme s’il pouvait être miné ou contenir un danger quelconque pouvant attenter à leur intégrité…..
Donc première phase: une pièce après l’autre, les voilà qui progressent en m’intimant de rester à l’écart durant l’exploration. Ils reviennent donc dans le hall un bon moment après, pour m’indiquer qu’il n’y a personne et commencer à me poser une rafale de questions à propos de la voisine et ce que je peux en savoir alors qu’elle n’est là que depuis quelques semaines à peine ayant succédé à son père décédé seul dans ce même appartement.
Rapidement ils me font part de leurs première conclusions, une bouteille de whisky presque vidée, des boites de psychotropes en quantité disséminées un peu partout, idem pour des verres ayant contenu de l’alcool et abandonnés de çi de là, etc. des prescriptions médicales psychiatriques, une grosse somme d’argent dans un des tiroirs ouvert, éliminant toute idée d’agression relative à un cambriolage comme on aurait pu le penser au départ… mais un grand désordre général laissant à penser un trouble psychiatrique…. Je constate tout cela avec eux….. Prenant discrètement connaissance et avec gène des documents et effets personnels épars….. Les voilà dévaler l’escalier pour aller le long du Canal, pensant à une tentative de suicide, etc.
Me voilà de mon côté et en accord avec eux commencer à contacter les services d’urgences des hôpitaux de Toulouse, peu nombreux la nuit, pendant que les policiers reviennent qui eux de mêmes, après une enquête auprès de leurs services et collègues ne ramènent aucune information…, pas de corps flottant sur le Canal, aux abords immédiats, pas de viscères dans les arbres, etc., etc. Chou blanc!
Après les formalités administratives d’usage, identité, etc. ils décident de repartir….
Bon, je m’en vais remontant rejoindre ma quiétude solitaire, les draps doux, etc. 2H30, 3H du matin environ,
Vibrations et aboiements de l’Interphone, Merde! Une fois, deux fois, l’interphone des voisins de palier dont les vibrantes sonneries caractéristiques me parviennent à travers les cloisons, idem pour l’interphone des voisins de dessous. Bon, réveillé en pleine tranquillité cotonneuse, je pense forcément à des fêtards plaisantins en mal d’occupation intelligente….., c’est l’heure des retours faut dire….
Ça insiste lourdement, Putain ils vont m’entendre…… debout, passage à la salle de bain, peignoir, ceinture et le couloir pour trajectoire dans le noir…. Vas-y! arrive à l’interphone, merde, l’angle du couloir (encore là, lui…?) dans la tronche, la plinthe du même angle détectée par l’orteil, Aïe! Putain de Merde!, bon…., objectif en approche….. Le pâté total d’être pris dans le premier sommeil, dans la chaleur douce du Nid….
« Ouais! C’est pour quoi……? » Et là, en prise direct avec l’autre monde, l’outre-tombe…une voix morbide, bafouillant, dégoulinante, des mots vomis plutôt que prononcés…… incompréhensible (en plus à l’interphone !!!). Ça insiste……je raccroche, ça recommence…… j’essaie de parler au truc….à l’autre bout de l’interphone le vomi reprends de plus belle……., bon, j’émerge progressivement….. Je vais au balcon….. Le crachotis épouvantable de l’interphone reprend du service……., j’ouvre la fenêtre, me penche……
Ho Putain !, la voisine, Non, Merde, Elle est vivante!

Bon, je vais y aller mollo pour me réveiller, hein, Mé la Conne, c’est qu’elle insiste à l’interphone, elle va pas lâcher l’affaire tout de suite…
Je franchis la porte de la cuisine, à gauche vers le fond du corridor, la porte de l’appartement,, j’ouvre, lumière éteinte juste pour retarder le plus longtemps possible le choc avec la lumière. La targette, j’ouvre la porte: FLASH! Merde! Putain, j’voulais vraiment pas ça, mais le voisin m’a pris de vitesse, aussi surpris que moi de nous retrouver face à face en robes de chambre avec la gueule des grands jours…..
C’est LA VOISINE, qu’il me lâche viteuf en dévalant l’escalier, Ho Putain !, que je fais……, et je lui raconte le temps de franchir les deux paliers l’intermède POLICE SECOURS… C’est la porte qui, maintenant à défaut de réactions de la part des interphones (Hé oui, on est dans l’escalier!!!) fait l’objet de toutes les attentions à coups de pieds, de coups de poings, d’insultes, de vociférations, etc.etc.
Peu de voisins… mais d’une qualité extraordinaire ! 🙂
Content de ton retour sur la blogosphère, ou tout du moins sur WP. Il y avait longtemps que tu n’avais rien publié.
Bonne nuit (cette fois-ci).
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Chaque soir, je veille au grain, je m’attends au pire, tout est prêt, les stocks de munitions prêts à servir, les balles et obus engagés, je dors avec le casque et les rangers (vivement l’hiver j’ai pas la clim!), J’ai toujours de l’eau et je bouffe de la Nivaquine toute la journée…
Mais bonne cette voisine là est morte, crevée dans ses chiottes, c’est mon voisin qui l’a trouvée, Ouf! j’ai économisé la suspicion d’assassinat, les interrogatoires, mai lui, le voisin a encore une fois béni cette plaie!!! Non, elle est enterrée, on ne devrait pas la revoir de suite…., mais elle doit bien m’attendre quelque part !!! Bah oui, mon inspiration et mon expresion sont intactes mais ailleurs (Là où le Monde est bien Meilleur!) J’ai passé deux semaines géniales en Provence entre Parc Naturel des Alpilles , Parc Naturel de Camargue et Parc Naturel de Sainte Baume, Ouch! un cadeau terrestre et culturel! baigné dans un grand confort en plu!:
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Dans ce merveilleux triangle de parcs naturels, je pense que tu a évité la petite station balnéaire à l’air si pur de Fos-sur-Mer. Dante aurait adoré ce joli coin de Provence…
Content que tu ais passé de bonnes vacances, Henri.
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Je connais bien la Zone d’activités, Du temps où je bossais aux Chantiers Navals de La Ciotat, je faisais beaucoup de voyages en autostop et de cette époque sans autoroutes (ou presque), beaucoup de routiers embarquait les auto-stoppeurs aux cheveux longs…., je me faisais ainsi souvent déposer sur un des innombrables carrefours de la zone d’où je repartais toujours rapidement vers Marseille…. J’ai le souvenir des odeurs pestilentielles et de l’ambiance post industrielle (déjà!) et je me demande encore comment font les ouvriers pour vivre sur place !!!
Non, non, je suis plutôt allé sur le Parc Naturel de la Camargue, les salines, les bords de Rhône les rives de l’étang, etc. et où e plus il n’y avait strictement personne !!!!
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Looooooooooool!
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Petitt pincement en redoutant à présent de mourir et devoir la supporter éternellement, je repousse au max….
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Compliquée cette voisine…
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Elle n’emmerde plus personne, enfin, elle a bien du trouver, en tous cas depuis qu’elle est dans une caisse et dans un trou avec un gros caillou dessus, je n’entends plus parler d’elle…., ça c’est clairement simplifié…
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Effectivement…
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Mais cela ne s’est pas arrêté là!: https://etoile31.wordpress.com/2019/08/03/la-voisine-le-printemps-le-marche-etc-3/
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Quel récit! J’ai bien rit Henri 🤣
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Avec du recul, oui, moi aussi j’en rit encore… Sur le moment, le contact avec l’appartement vide dans une obscurité de scène de crime, les soupçons et les précautions de la Police, le Canal devant la porte dans une atmosphère mi-belge, mi-flamande, les tiroirs entrouverts qui débordent, etc. Heu, comment dire…
Mais c’était notre premier contact, l’entrée en matière! Elle m’en a fait voir d’autre, cette Cruche, exemple: https://etoile31.wordpress.com/2019/08/03/la-voisine-le-printemps-le-marche-etc-3/
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Tu pourrais en faire un roman d’humour noir. Tu en as le talent. Bonne journée. Alan
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Ouah! Un vrai compliment!!! Je n’ai de talent que de par lvénements que la Vie nous offre chaque Jour…, Leur retranscription comme c’est le cas ici est réactif, j’écris par intuition, instinct…., Je me suis renseigné à ce sujet sur cette particularité de l’écriture et une lecture Akashique m’en a même été faite… et cela a à voir avec Thot! C’est dire !!! mais aussi avec la Révolution Française, Ha Ha Ha J’aurais bien mieux fait de découper soigneusement cette Cruche-Boulet et la répartir en fins morceaux au fil des jours dans le Canal…… L’idée m’est souvent venu, tout était prêt, manquait le déclic….
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Ecrire par intuition est plutôt une qualité. Parfois des intuitions peuvent ensemble créer un univers qui passe du puzzle à la construction . Bonne journée. Alan
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Ce sont des choses auxquelles je pense régulièrement. Le puzzle existe, et de manière effectivement éparse, même si pour beaucoup c’est bien rangé et même publié sur Atramenta pour la conservation en attente d’un potentiel declic,
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C’est clair que c’est une voisine de « tout repos ».
C’est merveilleusement bien conté avec humour.
C’est sûr que tu en as bavé.
Mais avant tout cette fille était paumée,
et c’est triste d’en arriver là.
Je connaissais ce texte, et je ne retrouve plus les commentaires d’époque.
???
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Oui, Nous en avions déjà parlé, comme avec cet autre article à son sujet de Peste: https://etoile31.wordpress.com/2019/08/03/la-voisine-le-printemps-le-marche-etc-3/
Savoir que cette personne a été une égérie et une muse des photographes locaux professionnels de l’époque, qu’elle a été l’épouse d’une personnalité des médias nationaux. Elle a des photos de presse d’elle digne d’une star à Cannes, une silhouette de rêve, bref, ça c’était avant. J’ai eu droit à la version « rebut », ça c’est clair, nourrie aux neuroleptiques, anxiolytiques, euphorisant, neuroleptiques, anti-dépresseurs, etc. avec tous les effets secondaires démultipliés par une consommation excessive d’alcool, et de produits alimentaires ultra transformés, mal congelés, mal décongelés, et j’en passe…. Bon, elle est morte sur ses chiottes, comme un déchet, rejeté par tous (sauf par moi of course!). Le cauchemar est terminé, elle doit avoir trouvé un Enfer à sa mesure, c’est tout ce que je lui souhaite…. Elle aura eu mon Amour, ma tendresse et mes attentions le temps que ça a duré….
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Que buena entrada, empujas un sueño tras una escena de pesadilla y las fotografías que flotan con amenaza y contradicción. Y esas palabras fuertes bien logradas.
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Merci pour ce beau compliment, ajouter que ce récit est stricte realite, ni cauchemar, ni rêve…. cette personne est morte et c’est vraiment bien pour elle,
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Au-delà de l’aspect tragique de la situation, tu as su extérioriser et retranscrire le paradoxe de celle-ci, avec un regard et un ressenti, je l’avoue, à me faire mourir de rire, pour la dédramatisation et l’incongrue de la situation vécue …. la façon de le percevoir et de l’exprimer.
Je m’en suis pissée dessus de rire ….. !! C’est excellent !!!
Merci.
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Ce qui est certain, c’est bien que sur le moment, si je ne suis pas entré plus loin que le pas de la porte appréhendant clairement une scène de crime et puis avec mon amie, nous avions des projets d’une toute autre Nature, n’est-ce pas! Mais bon, cela a empiré, niveau appréhension lorsque j’ai vu les policiers de la BAC passer la tête comme je l’avais fait, puis se retirer légèrement en arrière pour enfiler leurs protections….
Et quand l’autre Konne a sonné, ivre morte pour brailler dans l’interphone d’incompréhensibles borborygmes avinés et que je me suis retrouvé nez à nez avec le voisin lui aussi en kalbut, là, mon envie de tuer était au max!!!! Surtout qu’il a fallu la hisser jusqu’à sa litière, cette Gourde! Elle ne pouvait plus que s’effondrer sur elle-même dans sa chair mollase…
Pouah!
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Et tu l’as très bien retranscrit … je t’assure ! Il est parfois difficile de laisser un commentaire retranscrivant ce que l’on veut exprimer.
Ton écrit, et ses différentes parties, actes, qui le composent, on en toute ces atmosphères digne d’un mélange de polar, de glauque et dramatiques, misérable de détresse humaine, et de la rencontre, le choc entre cette rencontre, et le comique de toutes tes réplique de la façon de l’avoir ressentir et de la maudire ….
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Je la maudis encore où qu’elle se trouve!
Merci pour tes compliments. Cela a été écrit quasiment à chaud dans le fil d’un dialogue en mode instantané…
J’ai en fait fait sa connaissance ce jour-là. Son père qui résidait là étant décédé, elle avait choisi de venir vivre dans l’appartement dont elle venait d’hériter. Bonjour l’ambiance!
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Pendant combien d’années avez-vous dû la supporter, elle et son univers envahissant et dégoulinant ?
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Je ne sais même pas, une dizaine d’années environ,…
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Quand les choses sont si inconcevables pour moi, qu’elles en seraient trop … pffff … trop lourdes et que j’en perdrais mes moyens, il peut m’arriver de les vivre d’une manière différente, d’un autre regard, plus euphorique du paradoxe de situation. Evidemment, quand c’est trop dans le trop, cela ne fonctionne pas ce regard différent (il ne se met pas en marche) : le recule de la situation en dérision, paradoxale, ne s’effectue pas …
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Ma Nature est de m’immerger dans l’instant, dans le Présent dans ce de quoi il est fait au moment….Du coup, les situations de crise d’urgence, de tensions, j’ai tendance à m’y inclure lorsque cela est possible. Je n’ai pas toujours les solutions, mais je participe, je contribue, j’agis. C’est ma nature
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Dans mon commentaire laissé au-dessus, il en allait de même : immergée dans l’instant et le Présent. C’est le regard qui en prends plusieurs angles de vue en même temps et qui en créer se euphorisant régissant à la situation pour dédramatiser, désamorcer cette situation en cours. Bien évidement, dans des situations dramatiques, cela n’a pas lieu d’être ….
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Mais il peut en laisser transparaître, suivant .., une certaine forme d’expression, qui nous est propre (sans euphorie), une forme de bouée qui nous est propre à nous-même dans le ressentis et le traduit, dans la façon de le percevoir en ressentis pour nous-même : un sauve qui peut, et qu’il m’a semblé reconnaître/transparaître par certains côtés de votre écrit.
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