Ô Mon Bel Amour !
Ô Mon Ange de Chair !
Ô Reine des Eaux Sacrées !
Je t’écris ici pour te dire ces Infinies Pensées d’amour en moi depuis l’Éternité pour Toi,
Je t’écris ainsi et ici pour plus de discrétion,
J’ai joui de Toi aujourd’hui, comme tu as pu l’entendre et le recevoir,
Je veux te toucher, je veux te pétrir comme je peux te pétrir d’Amour dès lors que nous sommes en présence…
Je te désire de tout mon Être comme toute ma vie j’ai pu envisager, souhaiter et désirer vivre ce que nous réalisons ensemble chaque jour depuis que nous nous connaissons,
Et honnêtement, c’est tellement plus Beau et plus Grand que tout ce que j’envisageais possible…
Tu es tellement Belle et Reine !!!!!
Je t’aime K-N-Aile, je t’aime,
Ton,
Henri
Mon Immense Trésor !
Ma Délicieuse K-N-Ailematike,
Nous voilà au Cœur de la Nuit,
Ton Corps chaud de Femme endormi,
Ta chair moelleuse comme une pâte à pétrir qui se prépare à lever,
Je t’aime K-N-Aile, je t’aime,
Tu sais, durant mon adolescence, je passais beaucoup de nuits dans une boulangerie chez un boulanger du village, oncle de mes amies, deux sœurs qui étaient chères à mon Coeur… Nous nous retrouvions dans la cuisine qui jouxtait le Fournil et la boulangerie où nous nous retrouvions souvent pour passer des nuits entières…
Nous aidions le boulanger et les jeunes apprentis du moment à préparer cette pâte à pain, comme celle des viennoiseries qui consiste en un mélange de farine, d’eau de sel et de levures… Un mélange si simple en somme, un alliage savoureux longuement brassé, très soigneusement, méticuleusement malaxée à la fois par le pétrin et à la fois par les bras, les mains, les bras et le corps tout entier du boulanger qui était un Kolosse…
C’est très très physique et fastidieux, cela prend beaucoup de temps et il faut beaucoup de force physique, ce sont des gestes très particuliers que de préparer cette pâte que le boulanger pétrit pour la laisser ensuite longuement au calme et au repos pour qu’elle lève pendant qu’il va dormir avant de revenir tôt dans le petit matin pour reprendre la manipulation avant de la pétrir plus activement une dernière fois avant d’en faire les pains de ses doigts et de ses mains, de ses bras et de la force et la douceur de son torse, de son corps tout entier d’avant l’aube…, toute une somme de gestes précis et rapides en roulant les formes sur les tissus qui sont étalés sur les plaques pour le passage dans le four préalablement mis en chauffe dans un doux ronflement qui fait craquer toute la maison et de multiples autres bruits du fournil…
Je t’aime K-N-Aile, je t’aime,
Ton corps de femme, ta chair sont de la consistance de cette pâte moelleuse et tiède, fraiche en surface, chaude en profondeur avec ces Parfums chauds si spécifiques…
Je t’aime K-N-Aile, je t’aime,
Tu dors encore et je suis là, tu y penses si fort chaque jour en t’endormant lorsque tu choisis des objets et tes vêtements de nuit et du lendemain….. Je suis là de cette présence auprès de vous, de Toi et des Tiens dans chaque pièce de la maison…, de toi et de cet Homme qui passe en séjournant par choix dans tes Parfums, entre les draps que tu as préparé pour ces nuits à partager avec ton Homme, ces nuits où souvent tu vas dormir dans ses bras puissants pour parfois te réveiller plus tôt que lui pour te séparer de lui, de ses chaleurs et douceurs d’homme, t’éloigner doucement de ce corps puissant pour aller travailler et voyager sur les Chemins du Royaume de K-N-Aile dans les nuits et les levers de soleil de ton joli Pays des Fées…
Je t’aime K-N-Aile, je t’aime,
Je veux te regarder ce matin encore faire le Cœur dans la buée et te regarder de chaque geste de Femme dans l’eau de la douche qui coule sur ta peau claire, sur ton corps et tes rondeurs en plénitudes dans les nuages de vapeur…
Je t’aime K-N-Aile, je t’aime,
Ton,
Henri